Friday, December 23, 2011
Tην κοκαϊνη δεν την τραγούδησαν μόνο οι ρεμπέτες
Cocaïne - Nitta Jô
Ah ! Laissez-moi, laissez-moi priser
Cette poudre enchanteresse
Dont le pouvoir est de me griser
D'une amoureuse ivresse.
Une seule prise,
Et ma chair est prise.
Je vis des instants si doux, si doux.
Tout mon corps frissonne de désirs fous ;
Je m'abandonne.
Cocaïne, c'est toi qui me prends.
Cocaïne, je t'ai dans le sang.
Tu me mines, c'est plus fort que moi.
Cocaïne, je n'aime que toi.
De mon amant, je revois les yeux.
Il n'en est pas sur terre
De plus profonds, de plus amoureux
Plus empreints de mystère.
Oh ! Le joli songe...
Pour qu'il se prolonge,
Ah ! Laissez-moi priser mon poison.
Je veux oublier ses trahisons,
Ses vains mensonges.
Cocaïne, tu brûles mon sang.
Tu me ruines.
Ton poison violent
M'assassine.
C'est plus fort que moi.
Ah ah ah ah ah ah ah ah ah
Cocaïne, je n'aime que toi...
On ne connaît d'elle que son vrai nom, Jeanne Daflon, et son nom de scène parfois écrit Nita-Jo (un seul "t"), parfois Nitta-Jo, parfois sans trait d'union et parfois Nitta Jô...
Elle serait née vers 1890, peut-être même un peu avant, car ses débuts, elle les aurait faits à Marseille, aux Variétés-Casino, en 1907, mais comme dans tous les enregistrements qu'elle a faits particulièrement dans les années trente il n'y a aucune trace de l'assent de la région, on serait tenté, pour découvrir ses origines, de diriger ses recherches, ailleurs, vers Paris d'abord sauf que, comme nous le mentionne le toujours très renseigné Marc Béghin †, pas une mention d'elle dans aucune mairie. - Conclusion : elle est née nulle part.
Philippe Chauveau nous dit qu'elle était à Ba-Ta-Clan en 1910 et puis, en 1931 ou 1932, à l'Alhambra. Entre les deux, rien.
Source: Énigmatique Nitta Jô
En agosto continúa trabajando en Barcelona, contratada en el Novedades. Y allí, de nuevo, tiene lugar un pequeño escándalo. Actuaba en el mismo programa la chanteuse y diseuse francesa Nitta-Jo. El avispado empresario del Novedades contrata a ambas y organiza esta actuación al alimón, esperando obtener un lleno total al reunir a unos partidarios enfrentados de la francesa y de la madrileña, más que dispuestos a armar bronca. Ciertamente, los estilos de ambas no podían ser más diferentes: Nitta-Jo era una cantante dramática, una especie de apache trágica, de voz desgarrada y gesto arrabalero; Fornarina era la pícara delicada, la chula madrileña procedente del pueblo pero pulida en los salones de los hoteles de lujo, de voz trémula y ademanes ingenuos.
Fuente: consuelitoyotrasbellasdelcuple.blogspot.com
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